Il est 2h passée,

Voilà...

Et puis la corse aux corses non mais ho !

Nan mais là, c'est personnel, Tanza me cherche...
Saladin était largement arabisé et tu le sais trés bien. M'est avis qu'il parlait pas un traitre mot de Kurde. Et quand à la composition des armées Seldjoukides ou Egyptiennes, ça fait des années que je te répéte qu'elles étaient majoritairement arabes d'un point de vue éthnique. Bien sur monsieur ne s'intéresse qu'aux noms figurants dans les chroniques( ceux des turcs) et pas aux pauvres types de l'infanterie: élitiste!
Quand à la vente de Jerusalem par Al kamil, elle est due à ses excellentes relations avec Frédéric et n'a rien de militaire.
L'argument chypriote est minable.
Les Byzantins, des occidentaux? PPffff...
Et combien de temps pour la reconquista?
Et pour dégermanisé l'Alsace? Hein?
Dès que je rentre, on reprend cette panzerdiscussion, par net interposé, c'est pas marrant. Fait chauffer tes arguments, va y avoir du sport!

Vas y Jab, défonce lui la tête à ce teuton !

C'est vrai ça ! Faut rien oublier !

La 13è division de la Garde sauve Stalingrad

"Il y'avait un danger de voir l'ennemi occuper la gare centrale, couper l'armée en deux et atteindre le débarcadère principal avant l'arrivée de la 13è Garde... Il était 16 heures. Il restait 5 heures avant le crépuscule. Pouvions nous, avec nos unités éclatées et brisées, tenir encore 10 ou 12 heures dans les quartiers centraux ? (...) Nos troupes seraient-elles capable de remplir cette tâche apparemment surhumaine ? Si elles en étaient incapables, alors la 13è de la Garde regarderait la fin de la tragédie en spectatrice depuis la rive gauche..."

Tchouikov, Stalingrad.

La 13ème division de Fusiliers de la Garde permet à l'Armée Rouge de tenir la rive droite de Stalingrad au prix de lourdes pertes. En une nuit et une journée, la division perd plus de 90% de son effectif. Dans la nuit du 15 au 16 septembre 1942, il ne lui reste que 1800 hommes.

"Un soldat qui reste trois jours se considère déjà comme un ancien. Les gens ici ne vivaient qu'un jour."

Vassili Grossman, Carnets de guerre.

Un français, vice roi du Rio de la Plata

La guerre en Espagne, la déchéance de Ferdinand VII consécutive à celle de son père Charles IV, la montée au trône de Joseph Bonaparte lancent de fait le mouvement des indépendances en Amérique latine à cause de l'incapacité des Bourbons à tenir leurs colonies. Au Rio de la Plata, l'éloignement d'avec la métropole pousse les expatriés espagnols à penser de plus en plus à un futur sans la Couronne d'Espagne. La guerre contre les français est une aubaine.
Pourtant à Buenos Aires, ce Niortais reste plus que fidèle au Roi. Lui le vainqueur des britanniques quand l'Espagne était en encore alliée au Premier Empire a juré fidélité.